TPE
La peau : régénération
et cicatrisation
CONCLUSION
En conclusion, nous nous étions demandés, dans la problématique, comment fonctionne la régénération, quels sont les différents types de plaies, et quelle est la réaction de l'organisme à ces agressions.
Nous avons d'abord vu dans la première partie la composition de la peau et de l'épiderme. Puis nous avons vu son renouvellement naturel de la peau grâce aux kératinocytes.
Dans la deuxième partie, nous avons vu que les plaies du premier degré n'impliquaient pas de réactions vraiment spécifiques, et guérissaient grâce au mécanisme de renouvellement des kératinocytes, contrairement aux plaies du deuxième et troisième degré qui impliquaient une réaction particulière de l'organisme, le mécanisme de cicatrisation.
Dans la troisième partie, nous avons étudié la guérison des plaies du deuxième et troisième degré.
Nous avons appris, dans la partie A, que la première réaction de notre organisme est de créer une inflammation qui va préparer la zone lésée au processus de réparation et prévenir une éventuelle infection, puis va réaliser une hémostase et une coagulation, qui eux visent à stopper l'hémorragie.
Dans la section B de la deuxième partie, nous avons vu les mécanismes à plus long terme, avec en particulier la réépithélialisation, c'est à dire la régénération de l'épiderme par la migration des kératinocytes et par la création d'un membrane basale, et d'autre part la maturation de la peau, qui reprendra sa forme et fonction originelles qu'après un processus long et complexe.
Nous avons pu constater, à travers ce TPE, que deux mécanismes maintenaient l'intégrité de la peau : la régénération et la cicatrisation. Cependant, ils n'ont été étudiés que dans des circonstances "idéales", lorsqu'il n'y a aucune complication comme une infection ou la dégénérescence de certaines cellules. Dans la vie quotidienne, lorsque nous nous blessons, la réalité peut être différente de ce qui a été décrit dans ce TPE. Les facteurs qui rendent une plaie plus difficile à guérir relèvent de processus relativement complexes et longs à décrire (attaque par des agents pathogènes en particulier). Ils dépassent le cadre de notre TPE, mais pourraient faire l'objet d'études approfondies.
Vous pouvez retrouver ce site sur Internet à l'adresse suivante : http://membres.lycos.fr/pollux567/regeneration (malgré un bandeau de publicité obligatoire qui gêne la navigation...)
La peau : régénération
et cicatrisation
CONCLUSION
En conclusion, nous nous étions demandés, dans la problématique, comment fonctionne la régénération, quels sont les différents types de plaies, et quelle est la réaction de l'organisme à ces agressions.
Nous avons d'abord vu dans la première partie la composition de la peau et de l'épiderme. Puis nous avons vu son renouvellement naturel de la peau grâce aux kératinocytes.
Dans la deuxième partie, nous avons vu que les plaies du premier degré n'impliquaient pas de réactions vraiment spécifiques, et guérissaient grâce au mécanisme de renouvellement des kératinocytes, contrairement aux plaies du deuxième et troisième degré qui impliquaient une réaction particulière de l'organisme, le mécanisme de cicatrisation.
Dans la troisième partie, nous avons étudié la guérison des plaies du deuxième et troisième degré.
Nous avons appris, dans la partie A, que la première réaction de notre organisme est de créer une inflammation qui va préparer la zone lésée au processus de réparation et prévenir une éventuelle infection, puis va réaliser une hémostase et une coagulation, qui eux visent à stopper l'hémorragie.
Dans la section B de la deuxième partie, nous avons vu les mécanismes à plus long terme, avec en particulier la réépithélialisation, c'est à dire la régénération de l'épiderme par la migration des kératinocytes et par la création d'un membrane basale, et d'autre part la maturation de la peau, qui reprendra sa forme et fonction originelles qu'après un processus long et complexe.
Nous avons pu constater, à travers ce TPE, que deux mécanismes maintenaient l'intégrité de la peau : la régénération et la cicatrisation. Cependant, ils n'ont été étudiés que dans des circonstances "idéales", lorsqu'il n'y a aucune complication comme une infection ou la dégénérescence de certaines cellules. Dans la vie quotidienne, lorsque nous nous blessons, la réalité peut être différente de ce qui a été décrit dans ce TPE. Les facteurs qui rendent une plaie plus difficile à guérir relèvent de processus relativement complexes et longs à décrire (attaque par des agents pathogènes en particulier). Ils dépassent le cadre de notre TPE, mais pourraient faire l'objet d'études approfondies.
Vous pouvez retrouver ce site sur Internet à l'adresse suivante : http://membres.lycos.fr/pollux567/regeneration (malgré un bandeau de publicité obligatoire qui gêne la navigation...)
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